Avions et pilotes des Messerschmitt Me 110 de 1939 à 1945

Les chasseurs bimoteurs Messerschmitt, 1939-1945

Les chasseurs bimoteurs Messerschmitt Bf 110, Me 210 et 410, 1939-1945

Le Messerschmitt Bf 110, élégant bimoteur au fuselage effilé, naquit au milieu des années trente, à une époque où les principales armées de l’Air souhaitaient se doter d’un chasseur à la fois endurant et puissamment armé. Après des débuts relativement convaincants en Pologne, en septembre 1939, les unités de « Zerstörer » (destructeur), pourtant composées de l’élite de la chasse allemande, connurent un rapide déclin ponctué de lourdes pertes, si bien qu’à la fin de la Bataille d’Angleterre, à peine un an après sa mise en service, il fut décidé de retirer le Bf 110 du service et de cesser sa production. Après l’échec du Me 210, son successeur désigné, le Bf 110 connut une seconde carrière dans un rôle pour lequel il n’avait pas été prévu, la chasse de nuit. Et l’on doit dire que cette seconde carrière fut infiniment plus glorieuse pour le Zerstörer. En effet, dans ce nouvel emploi, le bimoteur, dont la production fut maintenue jusqu’à la fin du conflit, s’avéra un redoutable adversaire pour les appareils alliés, puisqu’il obtint davantage de victoires non seulement que les autres chasseurs de nuit de la Luftwaffe, mais aussi que l’ensemble des avions de ce type de toutes les armées de l’Air engagées dans la Seconde Guerre mondiale.

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Officiers et soldats de la Garde Impériale, tome 5: le train d’artillerie, le train des équipages, l’administration, le service de santé, l’état-major

Officiers et soldats de la Garde Impériale, tome 5

Officiers et soldats de la Garde Impériale, tome 5: le train d'artillerie, le train des équipages, l'administration, le service de santé, l'état-major

Avec ce cinquième volume s’achève notre passage en revue de la Garde Impériale. Nous commencerons par la suite du chapitre consacré à l’artillerie à cheval de la Garde. Nous aborderons ensuite des unités trop souvent mal aimées des historiens militaires, le train d’artillerie et le train des équipages. Une armée n’est rien sans soutien logistique et celle de l’Empereur n’aurait pu conquérir l’Europe sans les conducteurs du train dont le courage et l’abnégation, dans des circonstances souvent difficiles, lui permirent de vaincre. Nous évoquerons ensuite l’administration de la Garde dont les commissaires des guerres, les inspecteurs aux revues et leurs personnels durent, pendant quinze années, habiller, équiper et approvisionner la glorieuse phalange. Puis seront abordés les problèmes du service de santé qui, grâce à l’admirable Larrey et ses célèbres ambulances volantes, sut apporter aux blessés des secours plus efficaces et plus rapides sur les champs de bataille. Nous terminerons par l’état-major, élément indispensable à la conduite des opérations, avec les adjudants-commandants, leurs adjoints et leurs infatigables aides de camp. Sans oublier, bien sûr, les fameux officiers d’ordonnance, à l’activité débordante, qui furent les « yeux », les « oreilles » et la « voix » de l’Empereur.

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Officiers et soldats des hussards français, tome 3 : du 9e au 14e régiment, 1804-1812, les Cent-Jours, la Restauration

Officiers et soldats des hussards français, tome 3

Officiers et soldats des hussards français, tome 3 : du 9e au 14e régiment, 1804-1812, les Cent-Jours, la Restauration

Dans le tome 2 de cet ouvrage consacré aux hussards de l'Empire, nous avions arrêté notre étude au 8e régiment. Dans ce troisième et dernier tome, nous passerons en revue les régiments suivants, du 9e au 12e. Nous aborderons également la brève histoire de ces curieuses unités que furent le 13e Hussards (Bacciochi) et le 14e Hussards, tous les deux recrutés en Italie, sans oublier le régiment des hussards de Jérôme napoléon, qui fut transformé en nouveau 13e hussards au début de 1814. Un chapitre sera consacré au fameux règlement de 1812, œuvre monumentale du major Bardin dont le manuscrit, magnifiquement illustré par le peintre Carle Vernet, décrit dans le moindre détail, les uniformes, les équipements, les harnachements et l'armement des troupes impériales. Nous y étudierons les dispositions particulières aux hussards. Nous aborderons ensuite les tenues portées par les huit premiers régiments de hussards au cours de la période 1813-1815. Nous verrons que, dans ces temps troublés, le règlement de 1812 ne fut que partiellement appliqué, les difficiles campagnes de Saxe et de France ayant imposé d'autres priorités que le changement des tenues. Enfin, nous terminerons notre étude par les six régiments de hussards de la première et de la seconde Restauration.

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D’Eylau à Friedland – 1807, la campagne de Pologne – François-Guy Hourtoulle & André Jouineau

D'Eylau à Friedland - 1807, la campagne de Pologne - François-Guy Hourtoulle & André Jouineau

D’Eylau à Friedland – 1807, la campagne de Pologne

27 octobre 1806, Napoléon entre à Berlin. Incroyablement actif, comme à son habitude, il affaiblit l'Aigle russe en usant de la diplomatie, puis il propose à l'Autriche de lui restituer la Silésie que lui avait enlevé la Prusse de Frédéric le Grand et, enfin, régie le problème de l'ennemi de toujours: l'Angleterre. A cette fin, il édicte un décret qui entraînera la France sur une pente qui se révélera funeste: le 21 novembre 1806, il décrète le blocus continental. Commence alors, une longue succession d'évènements qui aboutiront à l'ouverture d'une nouvelle guerre en Pologne. Benningsen, dans ses mémoires, présentera les combats de cette campagne comme des victoires et il exalte à juste titre la valeur des soldats russes et l'efficacité des Cosaques. En fait, il a reculé partout. A Eylau, il clame que c'est sa victoire, mais il oublie qu'il était sur le point d'être cerné. A Friedland, il est rapidement mis en déroute. La campagne s'achève par une victoire totale pour les Français et une défaite indiscutable pour les Russes. Après la célèbre rencontre du 25 juin sur le Niemen, l'armistice entre Napoléon et Alexandre et les parades des deux gardes, la paix est signée le 8 juillet 1807. Les deux Empires continentaux ne sont plus, dès lors, séparés que par les eaux du Niemen. Cette brillante campagne marque l'apogée de l'Empire et celle de la Grande Armée. Le Tsar, Alexandre 1er, un instant sous le charme de Napoléon, adhère au blocus continental visant à asphyxier Albion. En moins de deux ans, les Français ont mis à genou tout le continent. Seul, à l'autre bout de l'Europe, le Portugal continue de commercer avec l'Angleterre. Napoléon voudra faire cesser cela et se lancera dans une aventure espagnole qui l'entraînera à sa perte.

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Officiers et soldats de la Garde impériale 1804-1815, tome 2 : Les troupes à cheval, 1804-1815

Officiers et soldats de la Garde impériale 1804-1815, tome 2

Officiers et soldats de la Garde impériale 1804-1815, tome 2 : Les troupes à cheval, 1804-1815

Pour l'Empereur, la cavalerie est l'arme du commandement, elle doit le renseigner et lui permettre faire sentir son action, sa vision au cœur de l'engagement. Il faut disposer du plus d'escadrons possible pour parer un danger, profiter de la première opportunité ou créer l'événement au cours de la bataille. La nécessité de disposer d'une cavalerie rapide et manœuvrière (la cavalerie légère), d'une cavalerie de rupture (la cavalerie lourde) et d'une cavalerie d'exploitation pouvant occuper le terrain (la cavalerie de ligne, les dragons), est essentielle. Sa rapidité, fait de la cavalerie l'arme du chef, l'arme de crise par excellence. Ces considérations impériales sur le rôle de la cavalerie en général sont bien entendu applicables à la cavalerie de la Garde qui se révèle bien, de par sa nature même de phalange de recours, comme étant l'arme suprême du commandement que l'on emploie au mieux des circonstances.

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Officiers et soldats de la Garde impériale 1804-1815, tome 4 : Les troupes à cheval, 1804-1815 – Gendarmes d’ordonnance, Gardes d’honneur, Eclaireurs, Artillerie à cheval

Officiers et soldats de la Garde Impériale, tome 4

Officiers et soldats de la Garde impériale 1804-1815, tome 4 : Les troupes à cheval, 1804-1815 – Gendarmes d’ordonnance, Gardes d’honneur, Eclaireurs, Artillerie à cheval

Quatrième et avant-dernier volet de cette riche saga, André Jouineau présente dans ce volume les dernières troupes à cheval de la Garde : les gendarmes, les gardes d'honneur et l'artillerie à cheval. N'oublions pas les tartares lituaniens, dernière preuve de la volonté de l'Empereur de faire de sa Garde un prototype de la Grande Europe.

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Iéna – Auerstaedt, le triomphe de l’Aigle – François-Guy Hourtoulle & André Jouineau

Iéna - Auerstaedt, le triomphe de l'Aigle - François-Guy Hourtoulle & André Jouineau

Iéna - Auerstaedt, le triomphe de l'Aigle

La victoire écrasante de Napoléon Ier sur l'armée prussienne le 14 octobre 1806 est, en réalité, l'effet conjugué de deux batailles simultanées mais entièrement distinctes. Devant Iéna, Napoléon rencontre l'année prussienne et saxonne de Hohenlohe dans des conditions numériques favorables à l'armée française. De ce point de vue, la bataille d'Iéna au sens strict est une victoire éclatante mais sans surprise. Au contraire, la bataille d'Auerstaedt, livrée au même moment à quelques lieues plus au nord, reste l'un des plus grands exploits militaires de tous les temps. Là, Davout affronte, avec son seul troisième corps, l'armée principale du roi de Prusse, en réalisant l'impensable prouesse de mettre en déroute l'élite de cette armée qui se croyait la meilleure du monde. Les mérites de l'Empereur n'en sont pas moins remarquables dans le déroulement de la phase stratégique, dans l'organisation de son armée, dans la mise en place de ses réserves. Napoléon dirige la marche de ses corps d'armée de façon géniale face à un adversaire empêtré dans ses discussions et ses hésitations. Il pense vite, il va vite et il ne peut que gagner. Aucune victoire de Napoléon n'a été et ne sera aussi efficace et aussi totale que ce brillant coup double du 14 octobre 1806. A Iéna et à Auerstaedt, l'armée prussienne vaincue sur les deux tableaux est mise en fuite et bientôt anéantie. Lannes sera le héros de Iéna, Davout le vainqueur d'Auerstaedt, et tous deux les grands artisans du Triomphe de l'Aigle. En 120 pages entièrement en couleurs illustrées de 100 documents et portraits d'époque, de près de 50 planches uniformologiques dessinées en infographie par André Jouineau et de pas moins de 17 cartes, le docteur F-G. Hourtoulle nous fait revivre, heure par heure et dans leurs moindres détails, ces grands moments de l'histoire militaire de la France.

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1814, la campagne de France – François-Guy Hourtoulle & André Jouineau

1814, la campagne de France - François-Guy Hourtoulle & André Jouineau

1814, la campagne de France

La campagne de France de 1814 ne débute pas à Leipzig. Mais au soir du 19 octobre 1813, l'Allemagne est perdue et l'Empereur doit replier ses troupes derrière le Rhin, sur le territoire national. De Wrède tente bien de lui bloquer la retraite à la tête de ses Austro-Bavarois, mais il est balayé le 30 octobre par les débris des corps d'armée français. La plaine russe avait englouti la Grande Armée. Reforgée en quelques mois, la nouvelle armée de Napoléon était à nouveau étrillée sur les champs de bataille de l'Allemagne. Les alliés d'hier, fidèles dans la victoire, faisaient défection et tournaient leurs armes, hier glorieuses, dans le dos de leurs anciens compagnons. Le capitaine adjudant-major Guindey, des grenadiers à cheval de la garde, ne reverra pas la France. Il est tombé à Hanau sous les coups des chevau-légers bavarois, entouré des corps de ses adversaires, anciens alliés, qu'il a sabrés avant de succomber. Le brillant maréchal des logis du 10e hussards qui, en 1806, tuait en combat singulier le prince Louis-Ferdinand de Prusse à la bataille de Saafeld, emportait dans son trépas les lumières d'un Empire qui chavirait. Napoléon rentré à Paris, les derniers Français repassent sur la rive gauche du Rhin. Combien sont-ils ? 50 000, 60 000 ? Leur faible nombre n'a d'égal que l'état pitoyable dans lequel ils se trouvent. La faim et le typhus les emportent plus vite que les boulets ou les balles. Mais l'ennemi les suit, et déjà il faut faire front. Il est difficile, aujourd'hui encore, de qualifier la symphonie que joua Napoléon au cours de cet hiver 1814, pendant lequel il montra les limites du génie militaire, mais les conscrits ont, pour leur part, repoussé les limites du courage, du dévouement et du sacrifice devant l'invasion de leur pays. Ils sont dignes d'un profond respect, et ont écrit une splendide épopée, portant très haut le prestige de la France.

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Wagram, l’apogée de l’Empire – François-Guy Hourtoulle & André Jouineau

Wagram, l'apogée de l'Empire - François-Guy Hourtoulle & André Jouineau

Wagram, l'apogée de l'Empire

La bataille de Wagram qui se solde par une victoire indiscutable n'a pas eu le retentissement que l'on pouvait attendre et pourtant elle demeure la plus belle démonstration du génie de Napoléon, son apogée en tant que chef de guerre. On peut penser ce que l'on veut de l'Empereur, l'aimer ou le détester mais il faut reconnaître les faits et les replacer dans le contexte de leur époque. A Wagram, nous rencontrons de multiples preuves concernant le génie de Napoléon dans deux domaines très précis : l'organisation de ses armées et le sens de la stratégie. Dans cette grande bataille, on a l'impression d'assister à la démonstration d'un maître de l'art manipulant ses 200 000 hommes comme il déplacerait les pièces d'un jeu d'échec, toujours en avance de plusieurs coups sur son adversaire, pourtant excellent. C'est peut-être l'importance - et la valeur qu'on leur accorde traditionnellement - des ordres de Napoléon adressés à ses corps d'armée ou à ses divisions qui éclipse les actions des régiments et, à plus forte raison, celles des hommes. Les actes d'héroïsme seront un peu noyés dans la masse des combats contrairement au terrible affrontement d'Essling. En définitive, Wagram manque de ce souffle épique si cher aux Français. La bataille est trop classique, mieux, trop académique. Dans notre pays, il semble exister chez beaucoup d'amateurs d'histoire une attirance morbide pour les récits de nos défaites les plus dramatiques. Que de livres ont été écrits sur Waterloo, la retraite de Russie ou aujourd'hui sur juin 1940, puis sur Dien Bien Phu. Les Français adorent l'héroïsme dans la défaite. C'est sans doute pourquoi je tenterai, une fois encore, de réhabiliter la victoire. La victoire d'un homme qui brassait " l'Epopée ".

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Officiers et soldats de la Garde Impériale, tome 3: les troupes à cheval, 1804-1815 – Mameluks, régiments de chevau-légers, gendarmerie d’élite

Officiers et soldats de la Garde Impériale, tome 3

Officiers et soldats de la Garde Impériale, tome 3: les troupes à cheval, 1804-1815 - Mameluks, régiments de chevau-légers, gendarmerie d'élite

Le troisième tome de cette série à succès consacrée à la phalange d'élite de l'Empereur, complète l'étude de la cavalerie de la Garde. On trouve dans ce Tome 3 les Mamelucks avec leur tenue orientale, les célèbres lanciers polonais, les lanciers rouges (hollandais), les lanciers de Berg, la gendarmerie d'élite. Un quatrième volume traitera de la suite des troupes montées de la Garde impériale : gendarmerie d'élite, gendarmes d'ordonnance, les éclaireurs.

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